วันจันทร์ที่ 25 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551

Taoïsme


Le taoïsme (道教 dào jiào « enseignement de la Voie ») est à la fois une philosophie et une religion chinoise. Plongeant ses racines dans la culture ancienne, ce courant se fonde sur des textes, dont le Dao De Jing (tao te king) de Laozi (Lao-tseu), et s’exprime par des pratiques, qui influencèrent tout l’Extrême-Orient. Il apporte entre autres :
une
mystique quiétiste, reprise par le bouddhisme Chan (ancêtre du zen japonais) ;
une
éthique libertaire qui inspira notamment la littérature ;
un sens des équilibres
yin yang poursuivi par la médecine chinoise et le développement personnel ;
un
naturalisme visible dans la calligraphie et l’art.
Ces influences, et d’autres, encouragent à comprendre ce qu’a pu être cet enseignement dans ses époques les plus florissantes.


Histoire


Sima Qian (-145~-86) est le père de l’histoire chinoise, il chercha à renseigner la biographie de tous les personnages mythiques ou réels des époques précédentes, et parmi des vies d’empereurs, ce commentaire en exergue est à propos des saints de l'école de la Voie (Zhuangzi, Laozi). Il résume la difficulté d’établir une chronologie de cet enseignement, car ceux qui le suivirent s’ingénièrent aussi bien à se cacher, qu’à brouiller les dates et les noms. L’établissement d’une histoire du taoïsme satisfaisant la critique occidentale est une élaboration récente.
En 1934,
Marcel Granet écrivait « pour découvrir [...] la pensée chinoise, on dispose de renseignements assez bons, mais ils ne pourraient guère autoriser à composer une Histoire de la Philosophie comparable à celle qu’il été possible d’écrire pour d’autres pays que la Chine. »[3]. À la même époque, Henri Maspero commence à classer et analyser l’immense corpus taoïste postérieur à l’antiquité, donnant lieu à une édition posthume en 1950. En 1963, Max Kaltenmark peut écrire Lao Tseu et le taoïsme, et pose en 1972 les jalons de la philosophie chinoise dans les 128 pages d’un Que sais-je ? (réédité en 1994). En 1997, Anne Cheng porte enfin à la connaissance du public non spécialiste une Histoire de la pensée chinoise de 600 pages, qui va jusqu’en en 1919, et répondant aux exigences posées en 1934. Parallèlement, en 1991, Isabelle Robinet publie une Histoire du taoïsme : des origines au XIVe siècle, très citée à l’étranger. Ces deux dernières références ont été privilégiées pour renseigner cette section.

วันเสาร์ที่ 9 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551

Frite


Frite



Les frites sont des pommes de terre coupées en morceaux allongés et cuites en friture, autrefois dans de la graisse de bœuf et depuis plutôt dans de l'huile d'arachide, de préférence dans une machine dédiée (celle-ci appelée friteuse).
Elles doivent être croustillantes et dorées à l'extérieur et moelleuses à l'intérieur. Lorsqu'elles sont coupées très fines, elles portent le nom pommes allumettes. Ces dernières sont surtout utilisées dans la
restauration rapide, ou dans les produits surgelés.
Ce mode de cuisson est particulièrement gras, c’est-à-dire qu'il y a beaucoup d'huile… : alors qu'une pomme de terre ne contient que 0,5 % de
lipides, une frite en contient approximativement 25 %. Le taux de matière grasse est dépendant du rapport volume sur surface de la frite : plus la frite est finement coupée, plus la surface en contact avec l'huile est grande. La préparation sous forme de chips est donc encore plus riche en graisses.
Les « moules-frites » pour les
Belges et le « fish and chips » pour les Britanniques sont des piliers de la nourriture populaire ou au moins de son folklore. Mais désormais la plus grosse quantité est commercialisée comme l'accompagnement systématique de la restauration rapide qui les reçoivent surgelées et précuites.
Des recherches sont en cours pour tenter de mettre au point une pellicule d'amidon qui permettrait de réduire le défaut diététique tout en maintenant la facilité d'emploi pour les chaînes.